Yurik Mamedov à Boston.
#knockoutconditioning
Posted by Dominic Paris on Sunday, March 18, 2018
Romain Tomas à Boston
Préparation physique Knockout Conditioning:
Training Camps in New York: Contact Dominic Paris
Entraînement Physique, Coaching Sportif, Fitness et Performance
Yurik Mamedov à Boston.
#knockoutconditioning
Posted by Dominic Paris on Sunday, March 18, 2018
Romain Tomas à Boston
Training Camps in New York: Contact Dominic Paris
L’objectif de Knockout Conditioning est le développement de la puissance explosive, le « fameux » knockout power »!
Ceux qui pensent que ce « don du ciel » ne peut être développé, ils seront surpris face à ceux qui auront utilisé ce programme!
Mais il n’y a rien de magique ici, seulement quelques nouvelles idées, de l’innovation et surtout la détermination pour aller le plus haut possible!
Oui, Knockout Conditioning ne peut se faire sans effort et sans remise en question. Vous n’avez pas forcément tout à changer dans ce que vous faîtes actuellement, mais nous vous garantissons que si vous appliquer professionnellement, avec rigueur et détermination, ne serait-ce qu’une partie du programme Knockout Conditioning, vos résultats vont être percutants!
Bien sûr, nous ne pouvons rien vous garantir pour la simple raison que nous ne pouvons vérifier de la manière dont vous vous préparez. Il est facile de se « casser » dans les dernières semaines d’une préparation si on ne respecte pas certains fondamentaux de l’entraînement et de la planification. J’ai vu souvent des sportifs très forts dans certaines situations de préparation physique, mais ensuite incapable de transférer leurs acquis sur le ring…!
Knockout Conditioning vont apporte des solutions pour éviter ce genre de situation. L’objectif est d’exprimer votre plein potentiel en situation de combat en terme de vitesse, d’efficacité, de puissance. L’objectif est d’améliorer ce fameux « knockout power » et c’est possible…maintenant ne passez pas cette opportunité de découvrir et d’appliquer Knockout Conditioning!
Knockout Conditioning, c’est plus de 80 vidéos et 12 PDF: Knockout Conditioning
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L’objectif de l’entraînement est de s’améliorer, n’est-ce-pas?…Alors pourquoi la plupart des performances s’enchaînent et se ressemblent?Boxeurs et entraîneurs travaillent-ils concrètement pour améliorer les points faibles?
Le point faible dont j’ai souvent parlé est au niveau des jambes : il y a un manque flagrant de puissance et d’explosivité des jambes chez de nombreux boxeurs. Ceci est dû à deux choses principalement :
– Un travail d’endurance à base de footing long et peu intense : j’en ai déjà souvent parlé, ce type de travail s’il est accompli trop souvent aboutit à un manque de solidité et d’explosivité an niveau des appuis.
– Un travail de musculation inadapté : quadriceps extension, leg curl sont des exercices d’isolation qui vont muscler le muscle en dehors du contexte : le boxeur ne se muscle pas pour être musclé, il ne se muscle pas pour l’esthétique ! Il doit rechercher uniquement ce qui va lui être utile. Des exercices comme le squat ou le soulevé de terre seront beaucoup plus efficaces, mais attention à la technique. Le principal problème de ce type d’exercice est le transfert, donc ils ne sont pas dans mes priorités dans un programme de préparation pour le boxeur. En fait on devrait arrêter de parler de musculation car vous perdez tout simplement 90% de votre temps!
Les solutions:
– Les meilleurs, et de très loin, de tous les exercices pour la puissance des jambes sont les sprints, transformez vous en sprinter et vous allez améliorez votre punch ! Le transfert est quasiment immédiat à partir du moment ou vous contrôlez votre récupération.
Ensuite il faut faire du travail d’appuis: j’utilise des circuits spécifiques en intégrant systématiquement des exercices avec le poids du corps et/ou kettlebell pour l’aspect métabolique (endurance spécifique).
Et voici ce que vous devez absolument intégrer dans votre prochaine préparation: ce sont les mouvements du Girevoy (kettlebell): en fait je suis persuadé qu’il n’y a pas mieux pour les jambes et le transfert vers le haut du corps. Mais vous devez maîtriser les techniques. L’investissement en temps que vous allez prendre pour avoir une bonne technique est le meilleur investissement que vous pouvez faire pour une préparation super efficace. Les transferts vont alors devenir quasi immédiat pour le boxeur en terme de force explosive.
« Knockout Conditioning » développe toutes ces techniques ainsi que d’autres mouvements stratégiques qui vont accélérer les transferts de puissance, partant des appuis pour finir au coup de poing.
Avertissement: Il y a actuellement très peu de personnes capables d’enseigner les vrais techniques de kettlebell et de Girevoy. Les kettlebells sont devenues à la mode et il y en a dans toutes les salles de fitness et de musculation. Soyez très prudent avec qui vous allez travaillez. Peu de préparateurs physiques ou prof de fitness sont formés à ces techniques. La solution est de vous informer en France auprès de l’Association Française de Girevoy Sport (AFGS: Stephane Dogman) pour les formations.
Knockout Conditioning est un package complet pour la préparation physique du boxeur
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Ce qui suit n’est peut-être pas pour vous…à vous de juger…
J’ai remarqué depuis longtemps le « silence » de la grande majorité des boxeurs et des entraîneurs de boxe quand on aborde les sujets de préparation physique et surtout celui de la puissance de frappe, ce qu’on appelle le punch.
Je ressens un état d’esprit négatif, sans doute dû à la croyance bien imprimée dans tous les subconscients que ce « don » de la puissance explosive ne peut quasiment pas s’améliorer…
Ce qui voudrait dire que tout athlète et surtout boxeur sont radicalement programmés dès le départ…Donc on ne change surtout pas les bonnes habitudes, on ne se remet jamais en question…A quoi bon puisque on ne peut pas s’améliorer…
Malgré tout le respect que j’ai pour les boxeurs, je me pose certaines questions et j’en arrive à la conclusion, pas définitive j’espère, qu’ils sont nombreux à s’être trompés de sport ! Si vous n’êtes pas puncheur dès le départ, c’est à dire sans vous être entraîner, naturellement, qu’elle est votre chance de pouvoir vivre les rêves que vous avez « secrètement » (ou pas) d’accéder aux projecteurs en dehors de votre ville de province…?
Donc est-il possible d’améliorer le punch?
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C’est comme si on me posait la question: est-il possible d’améliorer sa vitesse pour un sprinter…
Ce qui est certain, celui qui possède dès le départ des qualités de vitesse et de frappe part avec un net avantage. Et cela est valable pour n’importe quel sport, que ce soit pour l’endurance, la force…Mais nombreux sont ceux qui s’acharnent à progresser, à trouver des solutions et refusant systématiquement « l’impossible »…J’ai connu des champions du monde de cette trempe, que rien ne prédisposait au départ…et pourtant…
Stephane Dogman et moi-même avons travaillé à l’élaboration de « Knockout Conditioning ». On élimine 80% de ce que font habituellement les boxeurs, on amène de nouveaux ingrédients qui vous permettent d’optimiser, de récupérer, de développer et transférer. J’ai testé avec plusieurs boxeurs (de chez Golden Boy notamment) certaines séquences de ces programmes…avec 100% de réussite…et soyons clair, ces boxeurs n’ont pas combattu des faire-valoir, aucun adversaire n’avait un palmarès négatif…
Si vous croyez en vous, je vous conseille de regarder du côté de Knockout Conditioning…Si vous êtes septique, pas de problème, et si vous pensez que ce que vous faîtes est super efficace, surtout continuez, la persévérance est souvent le secret de la réussite…
Et si vous décidez qu’il est temps d’essayer de transformer ce foutu essai, bienvenu dans notre team !
Mais il peut y avoir un problème…mais comme on dit tout problème à sa solution…
90% de ceux qui investiront dans ce concept ne vont pas l’appliquer réellement…ils vont essayer, ils vont bricoler, mais ils ne vont pas totalement s’engager…Et 10% seulement vont s’y investir avec toute la remise en question nécessaire, cette volonté de sortir de sa zone de confort, cette hargne de vouloir tout donner pour réussir…Si vous décidez de faire partie de ces 10% vous ne serez pas déçu…
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Preparation Physique Combat Boxe, Preparation Physique Du Boxeur, Preparation Physique Pour La Boxe
L’article suivant est une interview à laquelle j’ai répondu récemment et qui a été publié sur le blog Fysiki. Les questions posent le problème de la préparation physique pour les boxeurs, mais c’est aussi valable pour tous les sports de combat. J’ai essayé d’y répondre en allant à l’essentiel. J’applique ces concepts depuis des années et les programmes de préparation physique que j’ai dirigé se sont avérés efficaces au vu des résultats. Donc sortons un peu des sentiers battus…
« Tirons un trait sur les idées reçu en matière de préparation physique des boxeurs. De nombreux mythes font encore légion dans le domaine. Après la lecture de cet article vous ne regarderez plus vos entraînements de la même manière. Qui d’autre que Dominique Paris, aurai-pu mieux répondre à nos questions sur la préparation physique des boxeurs. (Pour les néophytes, il a été le préparateur physique de Oscar De La Hoya et Julien Lorcy entre autres).
De nombreux boxeurs intègrent à leurs entrainements tout au long de l’année des footing (entre 45 minutes et 1h30 en endurance) plusieurs fois par semaine. Quel est l’intérêt de ces footing ?
Le milieu de la boxe souffre encore des idées reçues pour travailler l’endurance. Quel est le rapport entre un footing qui va durer 1h30 et un combat de boxe ? La boxe n’a rien à voir avec l’entraînement d’un coureur de 10000m. Ou alors il faudrait qu’on m’explique ! Le boxeur doit développer une endurance très spécifique.
Des footings de plus courtes durées ont leur place dans un programme d’entraînement, je conseille de ne pas dépasser 45-50mn maxi, 3 fois par semaine. 30mn est parfait pour de la récupération active. Si un boxeur doit perdre du poids ce n’est pas avec des footings interminables mais c’est en contrôlant parfaitement sa nutrition qui doit être intégrée à son programme d’entraînement.
Si un boxeur n’a pas assez d’endurance, il doit développer de l’endurance spécifique en priorité, l’endurance de longue durée et à intensité modérée et continue n’est pas adaptée, c’est physiologique et c’est comme ça ! Avec un peu de bon sens ce n’est pas très compliqué.
Peut-on remplacer ces footing par quelque chose de plus bénéfique pour le boxeur?
Un boxeur doit être performant sur des rounds de 3 minutes, ce sont des intervalles de 3 minutes avec des changements de rythmes, alternant des enchaînements explosifs et de courts moments de récupération. Il faut donc construire des séances d’endurance autour de ça, où l’intensité et la capacité à récupérer très rapidement sont essentiels. Il faut développer des programmes d’interval training avec sprints intégrés; attention à bien doser, ce n’est pas la quantité qui compte. Mais il ne faut pas faire uniquement de la course, certains types de circuit training peuvent être très efficaces et donc seront complémentaires car le corps entier étant sollicité. L’endurance spécifique n’est pas seulement cardiovasculaire mais aussi musculaire.
Quelles sont les principales qualités physiques à développer pour un boxeur ?
Vitesse, force, puissance explosive, endurance spécifique, agilité, capacité à récupérer très rapidement à la suite d’efforts très intenses. Un boxeur doit être un athlète complet mais il doit être aussi spécialisé : ses qualités physiques doivent être développées de manière stratégique (choix des exercices, planification) et basées sur le corps dans sa totalité.
Si un boxeur n’avait la possibilité de développer qu’une seule de ces qualités, laquelle serait, selon vous, la plus importante ?
La puissance explosive, c’est ce qui donne le « punch », la possibilité de mettre ko son adversaire. Peu ont cette qualité, et ceci pour 4 raisons:
1: Cette qualité repose sur des facteurs génétiques et c’est lié à la prédominance des fibres musculaires rapides, ce qui peut être très variable d’un individu à l’autre.
2: L’entraînement est trop souvent basé sur l’endurance ce qui va être au détriment de la vitesse et de l’explosivité car on va développer les fibres musculaires lentes (lié à l’endurance), ce qui est très facile.
3: Traditionnellement, on travaille vitesse et explosivité à l’approche de l’objectif (du combat) lors de la période d’affutage. Ceci est une grosse erreur d’entraînement, vitesse et explosivité devraient être une priorité dès le début de l’entraînement pour avoir beaucoup plus de temps pour les développer, ce qui est toujours difficile.
4: Absence ou insuffisance de travail de force qui doit être planifié longtemps à l’avance et ceci jusqu’à une ou deux semaines du combat. L’intensité doit être très élevé contrairement à ce que j’observe trop souvent: ils sont nombreux à croire qu’ils travaillent la force alors qu’ils travaillent en fait l’endurance musculaire!
On se rend compte alors de l’importance de développer un programme équilibré qui est conscient des priorités prenant en compte à la fois les aptitudes de l’athlète (c’est à dire ses capacités de départ lié à la génétique) et les exigences de la boxe.
Mais si on met trop la priorité sur la puissance explosive et si le boxeur a une endurance spécifique médiocre il devra chercher à abréger le combat le plus tôt possible sinon il peut avoir des soucis. On ne pourra minimiser l’endurance spécifique et la capacité de récupération rapide qui sont les qualités sur lesquelles la puissance explosive va « s’adosser » pour s’exprimer efficacement à tout moment, même en fin de combat. La capacité à « exploser » de manière maximale même à un niveau proche de saturation métabolique (lactique) fera toujours la différence (Pacquiao en est un bon exemple). »